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ouverture patch anti boutons 2

L’avis de nos médecins sur le patch anti-boutons : Sont-ils la meilleure solution contre l’acné ?

Les patchs pour boutons ont pris d’assaut les rayons beauté avec leur promesse de solution rapide et discrète contre les boutons. Mais la vraie question est : sont-ils suffisants pour gérer les problèmes d’acné ? aesthé, vous répond.

Sommaire

  • 1. Fonctionnement des patchs anti-boutons
  • 2. Pourquoi choisir des traitements plus complets ?
  • 3. Quand et comment utiliser les anti-boutons ?
  • 4. Les risques de ces patchs anti-acné
  • 5. FAQ
Une femme qui a une belle peau grâce à l'utilisation d'exosomes

Publié le 16 mai 2025,
mis à jour le 15 septembre 2025,
par Kawtar Charif, chargée de la Communication
Médicale

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4 min

Temps de lecture

Comment fonctionnent les patchs anti-boutons ?

Les patchs anti-boutons sont conçus pour cibler nos imperfections de manière locale. Ils utilisent des ingrédients actifs comme l’hydrocolloïde, connu pour sa capacité à absorber le liquide des boutons et à créer une barrière qui empêche les bactéries et impuretés de pénétrer. Il aide à réduire l’inflammation et à accélérer la cicatrisation, tout en minimisant le risque de laisser une cicatrice.

Certains patchs contiennent aussi de l’acide salicylique et de l’huile d’arbre à thé (ou tea tree). Ces actifs sont réputés pour leur capacité à purifier la peau en profondeur, à réduire l’excès de sébum et à diminuer les rougeurs. L’acide salicylique aide notamment à exfolier les pores, réduisant ainsi l’apparition de points noirs et d’imperfections.

  • Les patchs : un allié ponctuel, mais pas suffisant ?

    Bien que ces patchs soient pratiques pour traiter les petits boutons qui apparaissent occasionnellement sur notre peau, ils ne sont pas la solution ultime pour traiter votre acné sur le long terme. Ils sont efficaces pour des boutons localisés, mais ils ne résolvent pas les causes profondes de l’acné, comme l’excès de sébum, les fluctuations hormonales ou l’accumulation de bactéries sous la peau.

    Ils ne permettent pas non plus d’éviter l’apparition de nouveaux boutons. En d’autres termes, si vous souffrez d’acné chronique ou sévère, vous devrez envisager des solutions plus complètes et efficaces que de simplement utiliser ces patchs.

Quand et comment utiliser les anti-boutons ?

Pour une prise en charge globale de votre acné, nous vous conseillons d’en discuter avec l’un de nos médecins, qui pourra vous proposer des traitements adaptés à votre type de peau et à vos besoins. Contrairement aux patchs, ces soins agissent en profondeur et visent à traiter les causes sous-jacentes de l’acné.

Dans notre centre aesthé, plusieurs solutions contre l’acné sont proposées, chacune avec ses avantages pour améliorer l’état de votre peau, réduire l’apparition des boutons, et accélérer le processus de guérison :

Le laser Aviclear

Ce traitement au laser aide à réduire la production de sébum, ce qui diminue l’apparition de vos boutons.

En savoir plus sur le laser AviClear

En savoir plus sur le laser AviClear
Séance de laser AviClear sur une femme

Les peelings chimiques

Ils exfolient votre peau en profondeur, éliminant les cellules mortes, les impuretés, et débouchant les pores pour prévenir les points noirs et l’acné.

Découvrir les peelings aesthé

Peeling
Application d'un peeling

Le microneedling

Cette technique stimule la régénération cutanée, réduit les rougeurs et favorise la cicatrisation des imperfections et des cicatrices d’acné.

En savoir plus sur le microneedling
Séance de microneedling

LED thérapie

Utilise la lumière pour traiter les inflammations et tuer les bactéries responsables de l’acné sans endommager votre peau.

Découvrir la luminothérapie LED

Luminothérapie LED
Une femme qui fait de la luminothérapie le jour du Blue Monday

Quand et comment utiliser les anti-boutons ?

Si vous choisissez quand même d’utiliser des patchs pour vos imperfections occasionnelles, voici quelques conseils pour les appliquer correctement :

1 : Nettoyez bien votre peau avant d’appliquer le patch. Assurez-vous que la zone est propre et sèche pour que le patch puisse adhérer correctement et agir efficacement.

2 : Choisissez un patch adapté à votre besoin : les patchs à l’acide salicylique sont parfaits pour les boutons enflammés, tandis que les patchs hydrocolloïdes sont mieux pour les boutons percés ou en phase de guérison.

3 : Laissez le patch agir plusieurs heures, voire toute la nuit, pour lui permettre d’absorber le liquide et de réduire l’inflammation.

4 : Évitez de toucher votre bouton après avoir appliqué le patch. Cela aide à limiter les risques d’infection et de cicatrice.

boutons d'acné à cause du soleil

Quels sont les risques de ces patchs anti-acné ?

L’utilisation des patchs peut présenter quelques risques, notamment si vous avez la peau sensible. Ils peuvent causer des irritations ou des réactions allergiques, dues à la colle.

Nous vous conseillons de faire un test avant de les appliquer sur toutes les zones de votre visage. De plus, lorsque vous décollez le patch, veillez à ne pas abîmer votre peau, ce qui pourrait perturber le processus de cicatrisation et provoquer des cicatrices.

  • Comment minimiser les mauvaises surprises ?

    Optez pour des patchs transparents et adaptés à votre type de peau. Certains patchs, comme ceux contenant des pépins de raisin, ont des propriétés apaisantes et purifiantes qui sont moins agressives. Assurez-vous de choisir la taille du patch en fonction de la taille de l’imperfection.

F.A.Q

  • Comment la médecine régénératrice révolutionne-t-elle la médecine esthétique ?

    Elle ne sert pas seulement à traiter des problèmes médicaux, la médecine régénérative aide aussi à redonner une apparence plus jeune à la peau. Grâce à l’utilisation de cellules souches pluripotentes (ce sont des cellules qui peuvent devenir n’importe quel type de cellule dans le corps), on peut recréer de la peau, réparer des tissus abîmés après une brûlure ou une cicatrice et même régénérer les zones vieillies du visage ou du corps. Tout cela se fait dans un cadre médical sûr et contrôlé. Ces traitements combinent plusieurs techniques : la culture de cellules (faire grandir des cellules dans un laboratoire), l’utilisation de cellules souches embryonnaires (prélevées dans les tout premiers stades de développement humain), ou encore de cellules adultes (prises dans votre propre corps, comme dans la peau ou la graisse). Toutes ces cellules sont issues de cellules souches et utilisées pour restaurer la jeunesse et la vitalité de la peau, en stimulant la réparation naturelle du corps.

  • Quelles cellules sont utilisées pour rajeunir ou réparer la peau ?

    Des cellules souches adultes,(prises directement dans le corps), des cellules progénitrices (des cellules en cours de transformation) ou encore des cellules souches pluripotentes induites (iPS), obtenues à partir de cellules somatiques (les cellules normales du corps, comme celles de la peau) sont utilisées pour produire des cellules de la peau ou des cellules différenciées pour la greffe de peau. On parle aussi d’ingénierie tissulaire, avec des tissus créés à partir de cellules en culture (cultivées en laboratoire). Les médecins peuvent partir de cellules souches mésenchymateuses (souvent prélevées dans la graisse ou la moelle osseuse) ou de cellules embryonnaires pour créer des tissus personnalisés grâce à l’ingénierie cellulaire.

  • Est-ce que ces technologies sont déjà utilisées en esthétique ?

    Les peaux à imperfections ont besoin d’être purifiées pour éliminer les toxines accumulées. Grâce à son action nettoyante, un soin exfoliant aide à draine Oui, dans certains cas. Des essais cliniques ont été menés pour des traitements de cicatrices, rides profondes ou greffe de cellules sur peau abîmée. Des projets de recherche sur les cellules souches pluripotentes induites (IPS) visent aussi des solutions contre le relâchement cutané ou la repousse cellulaire dans les zones du visage. Des cellules multipotentes utilisées en laboratoire peuvent déjà être testées dans le cadre de protocoles encadrés. les toxines et à retrouver une peau nette.

  • Peut-on vraiment traiter des maladies comme Parkinson avec des cellules souches ?

    Oui. Dans le cadre de la médecine régénérative thérapeutique, des recherches avancées portent sur la transplantation de cellules souches neurales adultes ou de cellules iPS (cellules pluripotentes induites) pour remplacer les cellules du cerveau détruites par la maladie de Parkinson. Ces thérapies visent à restaurer les fonctions perdues, avec un impact aussi sur l’apparence et la mobilité du visage. Des protocoles fondés sur les cellules souches embryonnaires ou les cellules iPS sont à l’étude pour leur capacité à régénérer les neurones perdus.

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